15 septembre 2007
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L'embouchure de la Rivière des Roches, aux frontières de Bras-Panon et Saint-Benoît est un endroit calme, prisé des pique-niqueurs, avec une vue superbe entre la mer et la rivière.
Ce jour-là il faisait beau mais le vent soufflait fort
et l'océan se brisait sur les galets.
Entre Octobre et Décembre, par contre, la rivière s'anime. En effet c'est là que l'on peut assister à la montée des bichiques. Rare et cher, le bichique est un mets quasi mythique dans la consommation est très prisée par les Réunionnais.
( Nous avons d'ailleurs goûté un succulent cary bichique chez ma cousine de Saint-Benoît, bichiques surgelés malheureusement, vue la saison!)
Ce jour-là il faisait beau mais le vent soufflait fortet l'océan se brisait sur les galets.
( Nous avons d'ailleurs goûté un succulent cary bichique chez ma cousine de Saint-Benoît, bichiques surgelés malheureusement, vue la saison!)
Nés dans les rivières de l'île, ces alevins de cabot ou de bouche-ronde sont entraînés vers la mer après quelques jours. Une fois devenus bichiques, ils remontent la rivière à la nouvelle lune de l'été austral. Les pêcheurs réunionnais placent des vouves, sortes de nasses coniques en fibre de coco, à l'embouchure des rivières, dans des canaux sur lesquels ils veillent jalousement et orientent les bichiques vers leurs nasses.
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Longeant les canyons profonds de la rivière des Marsouins, la vallée de Takamaka nous a menés au coeur d'un paradis tropical.
Petite particularité: ce site de l'île détient un célèbre record, le record MONDIAL de pluviométrie: 6 mètres par an! Heureusement, cet été, c'était l'hiver et les hivers sont plutôt secs, nous avons donc pu découvrir cet endroit sans nous mouiller.
Le cadre est assez unique avec ses montagnes abruptes, ses cascades et ses bassins à qui mieux-mieux. 
